25.3.18

Chapitre 6 Plusieurs formes de différenciation que ta foi en Dieu devrait posséder

7. La différence entre les bonnes actions extérieures et les changements de tempérament.


Paroles de Dieu concernées :


Qu’est-ce que la « transformation du tempérament » ? Tu dois être un amoureux de la vérité, accepter le jugement et le châtiment de la parole de Dieu au fur et à mesure que tu expérimentes Son œuvre et toutes sortes de souffrances et d’épurations par lesquelles tu es purifié des poisons sataniques en toi. C’est cela la transformation du tempérament. […] La transformation du tempérament signifie qu’un homme, parce qu’il aime et peut accepter  la vérité, parvient enfin à connaître sa nature désobéissante et rebelle à Dieu ; il comprend que la corruption de l’homme est trop profonde et il comprend l’absurdité et la duplicité de l’homme. Il connaît la pauvreté et la misère de l’homme et il comprend enfin la nature et l’essence de l’homme. En sachant tout cela, il peut se nier et s’abandonner complètement, vivre selon la parole de Dieu et pratiquer la vérité en tout. Un tel homme connaît Dieu et son tempérament est transformé.


Extrait de « Comment connaître la nature de l’homme », Enregistrements des entretiens du Christ


 Une transformation dans le tempérament se réfère principalement à une transformation dans votre nature. La nature n’est pas quelque chose de visible à partir des comportements extérieurs ; la nature implique directement la valeur et la signification de l’existence des gens. Elle implique directement les valeurs de la vie humaine, les choses profondes dans l’âme et l’essence des gens. Si les gens ne pouvaient pas accepter la vérité, ils n’auraient aucune transformation dans ces aspects. C’est seulement si les gens ont expérimenté l’œuvre de Dieu et sont pleinement entrés dans la vérité, ont changé leurs valeurs et leurs points de vue au sujet de l’existence et de la vie, ont considéré les choses de la même manière que Dieu et sont devenus capables de se soumettre et de se dévouer complètement à Dieu que l’on peut dire que leurs tempéraments ont changé. Il peut sembler que vous fassiez des efforts, vous êtes peut-être résilients face à des difficultés, capables de réaliser les arrangements de travail du supérieur, ou d’aller partout où on vous dit d’aller, mais ces choses ne sont que de petits changements dans vos actions, et ce n’est pas suffisant pour apporter une transformation dans votre tempérament. Vous pouvez peut-être parcourir de nombreux chemins, souffrir de nombreuses difficultés et endurer une grande humiliation ; vous sentez peut-être que vous êtes très près de Dieu et que le Saint-Esprit  travaille en vous, mais quand Dieu vous demande de faire quelque chose qui n’est pas conforme à vos idées, vous ne vous soumettez toujours pas, vous cherchez des excuses et vous vous rebellez contre Dieu et Lui résistez, même au point que vous blâmez Dieu et que vous vous révoltez contre Lui. C’est un problème sérieux ! Cela prouve que vous avez toujours une nature hostile à Dieu et que vous ne vous êtes pas transformés le moins du monde.

Extrait de « Ce que vous devriez savoir sur la transformation de votre tempérament », Récits des entretiens du Christ


 La foi en Dieu ne signifie pas qu’Il te demande d’être une bonne personne, d’être quelqu’un de bien élevé, ou d’obéissant à la loi ou juste quelqu’un qui est incapable de penser par lui-même ou d’utiliser son propre cerveau. Auparavant, les hommes pensaient que les changements dans le tempérament, qui venaient de la croyance en Dieu, signifiaient qu’il fallait devenir une bonne personne, projeter une certaine image humaine à l’extérieur, être bien élevé et patient, ou apparaître pieux ou aimant et être désireux d’aider les autres et être charitable. En bref, cela signifiait être le genre de bonne personne qui existait dans les conceptions erronées et l’imagination des hommes. Ceci ressemble aux dires de certaines personnes du monde qui estiment que : « Si tu es riche, tu devrais donner aux pauvres ou aux mendiants. » […] Ainsi, beaucoup de gens croyaient que la croyance en Dieu n’impliquait rien de plus que quelques changements dans leur comportement extérieur, leur pensée et leurs actions et, parfois même, certaines personnes croyaient que la foi en Dieu signifiait subir de nombreuses épreuves, ne pas manger de nourriture raffinée, ni porter de beaux habits. En Occident, par exemple, une religieuse catholique (le catholicisme est aussi une religion ; pour les religieuses, c’est aussi un genre de foi) croyait que la foi en Dieu signifiait qu’elle devait passer toute sa vie à souffrir davantage, à manger moins de nourriture raffinée, à se priver de tant de bonnes choses de la vie et à donner de l’argent aux pauvres ou aux mendiants lorsqu’elle le pouvait, ou à accomplir davantage de bonnes actions, à être plus charitable envers les gens, et plus utile aux autres. Tout au long de sa vie entière, elle n’a fait que souffrir et s’est abstenue de manger de la bonne nourriture et de porter de beaux habits. Lorsqu’elle est décédée, aucun des habits dont elle était vêtue ne valait plus de deux dollars ; ses dépenses quotidiennes courantes aussi se limitaient à quelques dollars. Son histoire est probablement apparue comme une nouvelle générale ou majeure dans le monde entier. Et qu’est-ce que cela indique ? Aux yeux de l’humanité, uniquement ce genre de personne est bonne et gentille ; pour la communauté religieuse, elle était l’une de ces uniques personnes à accomplir de bonnes choses et de bonnes actions, à avoir changé et à vraiment avoir foi en Dieu. Et il est donc possible que vous ne soyez pas différents : vous pensez sans aucun doute que croire en Dieu et avoir la foi équivaut à être une bonne personne. Il s’agit d’être quelqu’un qui ne se bat pas avec les autres, ou ne les maudit pas, ou ne jure pas, quelqu’un qui n’accomplit pas de mauvaises choses, quelqu’un qui donne l’apparence de croire en Dieu ; certains disent même qu’il s’agit d’être quelqu’un qui apporte de la gloire à Dieu […] Dieu désire sauver l’homme, Il a prononcé de nombreuses paroles et accompli une œuvre considérable — et alors, comment souhaite-t-Il que les hommes soient ? Il souhaite que leurs pensées soient guidées par la vérité et qu’ils vivent leur vie en suivant les devises de la vérité. Il ne te demande pas d’être aussi irréfléchi qu’une marionnette, et Il souhaite encore moins que tu sois placide comme un légume, dépourvu de toute émotion normale. Bien au contraire, Il souhaite que tu sois une personne normale qui aime ce qu’Il aime et déteste ce qu’Il déteste, qui peut prendre plaisir à ce qui Le ravit, et mépriser et rejeter ce qu’Il méprise. […] C’est à cause de cela que je dis que vous ne savez pas ce que l’on entend par des changements dans le tempérament. Vous ne faites que mettre des limites à votre conduite, à vos actions extérieures, à votre naturel et votre caractère. De cette manière, il vous sera impossible de réaliser des changements dans votre tempérament. Où est-il écrit dans les paroles de Dieu que vous devriez vous imposer des limites, que vous devriez surveiller vos paroles, contrôler vos émotions et garder votre sang-froid, et que vous devriez prendre garde d’exposer votre nature et devriez mettre un frein à vos achats et à votre usage de vêtements ? A-t-Il déjà exprimé de telles paroles ? Même là où des références à ces choses existent, elles ne constituent pas le cœur de Ses paroles, elles ne sont pas non plus les vérités principales qui pourraient engendrer des changements dans le tempérament des personnes. La majorité des paroles de Dieu traitent de l’essence corrompue de l’homme, des questions suivantes : comment connaître l’essence corrompue de l’homme, comment l’homme peut-il parvenir à des changements dans son tempérament, comment peut-il vraiment connaître son essence corrompue et comment peut-il se libérer de son tempérament corrompu pour se conformer aux exigences de Dieu et devenir quelqu’un selon le cœur de Dieu, qui satisfait le désir de Dieu. Si vous comprenez cela, allez-vous continuer à déployer tant d’efforts dans des actes extérieurs ? Allez-vous continuer à vous mettre dans tous ces états pour des questions aussi superficielles ? Alors, si tu ne comprends pas ce que signifient des changements dans le tempérament, tu ne saisiras jamais l’essence des changements dans le tempérament et ne parviendras à aucun changement dans ton tempérament. En particulier, certaines personnes de la communauté religieuse, qui viennent tout juste d’accepter cette étape de l’œuvre, n’ont pas encore finalisé le passage de la cérémonie religieuse, de la pensée religieuse et des points de vue religieux propres à leur état d’esprit et leur conception de la vie vers la croyance en Dieu ; ils tentent encore d’être spirituels, et pieux, et patients, d’être de bonnes personnes naturellement, qui aiment faire le bien et donner aux autres. C’est complètement faux ! Si tu cherches à être ce genre de personne, tu ne recevras jamais les éloges de Dieu.


Extrait de « Ce qu’est un changement de tempérament et la voie vers un changement de tempérament », Récits des entretiens du Christ

La plupart mettent particulièrement l’accent sur le comportement dans leur croyance en Dieu, ce qui a pour corollaire de laisser s’opérer des changements dans leur comportement. Après avoir cru en Dieu, ils cessent de se disputer avec les autres, de se battre avec leurs prochains et de les insulter, ils cessent de fumer et de boire, ils ne volent aucun bien public — que ce soit un clou ou une planche de bois — ils vont même jusqu’à ne pas porter plainte devant les tribunaux lorsqu’ils subissent des dommages ou sont lésés. Sans doute, certains changements se produisent dans leur comportement. Parce qu’après avoir cru en Dieu, accepter le vrai chemin leur fait se sentir particulièrement bien, et parce qu’ils ont aussi goûté à la grâce de l’œuvre du Saint-Esprit, ils sont particulièrement fervents, et il n’y a même rien qu’ils ne peuvent abandonner ni faire. Pourtant, après avoir cru pendant trois, cinq, dix ou trente ans, parce qu’il n’y a pas eu de changement dans leur tempérament de vie, à la fin ils retombent dans les vieilles habitudes, leur arrogance et leur dédain grandissent et ils commencent à se battre pour le pouvoir et les avantages, ils convoitent l’argent de l’Église, ils font tout ce qui est dans leurs intérêts, ils sont assoiffés de statut et de plaisirs et ils deviennent des parasites de la maison de Dieu. La plupart des dirigeants, en particulier, sont abandonnés. Et qu’est-ce que ces faits prouvent-ils ? Des changements qui s’opèrent seulement dans le comportement ne sont pas durables. S’il n’y a pas de changement dans le tempérament de vie des individus, alors tôt ou tard leur côté méchant émergera. Parce que la source des changements dans leur comportement est de la ferveur, couplée avec un certain travail accompli par le Saint-Esprit de l’époque, il leur est extrêmement facile de devenir fervents, ou d’être bons pour un temps. Comme disent les non-croyants : « Faire une bonne action est facile, ce qui est difficile, c’est de faire de bonnes actions toute la vie. » Les gens sont incapables de faire de bonnes actions toute leur vie. Leur comportement est guidé par la vie ; quelle que soit leur vie, leur comportement l’est tout autant, et il n’y a que ce qui est révélé naturellement qui représente la vie et la nature de l’individu. Les choses qui sont fausses ne peuvent pas durer. Quand Dieu travaille pour sauver l’homme, ce n’est pas pour le parer d’un bon comportement — l’œuvre de Dieu vise à changer les tempéraments des individus, pour les faire renaître et devenir de nouvelles personnes. Ainsi, le jugement, le châtiment, les épreuves et le raffinement que Dieu fait subir à l’homme visent tous à changer son tempérament, afin qu’il en arrive à une obéissance et une fidélité absolues envers Dieu et Lui voue un culte normal. C’est le but visé par l’œuvre de Dieu. Bien se comporter n’est pas la même chose qu’obéir à Dieu, ce n’est pas, encore moins, être compatible avec Christ. Les changements de comportement sont fondés sur la doctrine et nés de la ferveur — ils ne sont pas basés sur la vraie connaissance de Dieu, ni sur la vérité, et encore moins sur la direction du Saint-Esprit. Même s’il y a des moments où une partie des œuvres de l’homme est guidée par le Saint-Esprit, ce n’est pas l’expression de la vie, et encore moins le fait de connaître Dieu ; quel que soit le degré de bonté du comportement d’un individu, il ne prouve nullement qu’il obéisse à Dieu, ou qu’il met la vérité en pratique. Les changements de comportement sont une illusion momentanée, ils sont la manifestation du zèle, et ne sont pas l’expression de la vie. […] Les gens peuvent bien se comporter, mais cela ne signifie pas nécessairement qu’ils détiennent la vérité. La ferveur des individus ne peut que leur faire se conformer à la doctrine et à suivre la réglementation ; les gens qui ne détiennent pas la vérité n’ont aucun moyen de résolution des problèmes d’essentiels, et la doctrine ne peut pas se substituer à la vérité. […] Certains nouveaux croyants, après avoir cru en Dieu, ont laissé derrière eux le monde séculier ; lorsqu’ils rencontrent des non-croyants, ils n’ont rien à dire, et ils rencontrent rarement leurs parents et leurs amis, et les non-croyants disent : « Cette personne a vraiment changé. » Alors ils pensent et disent : « Mon tempérament a vraiment changé — les non-croyants disent que j’ai changé. » En fait, son tempérament a-t-il vraiment changé ? Non, il n’a pas changé. Ce ne sont que des changements extérieurs. Il n’y a pas eu de changement dans leur vie, et leur vieille nature reste enracinée en eux, totalement intacte. Parfois, les gens sont saisis par la ferveur grâce à l’œuvre du Saint-Esprit ; certains changements extérieurs se produisent, et ils font quelques bonnes actions. Mais ce n’est pas la même chose que des changements de tempérament : tu ne détiens pas la vérité, ta vision des choses n’a pas changé, même pas différente de celle des non-croyants, et tes valeurs et perspectives sur la vie n’ont pas changé. Tu n’as même pas un cœur qui révère Dieu, ce qui est le moins que tu doives posséder rien n’est plus loin des changements dans ton tempérament.

Extrait de « La différence entre les changements externes et les changements dans le tempérament », Récits des entretiens du Christ

Dans le domaine de la religion, de nombreuses gens souffrent beaucoup toute leur vie, réprimant leur corps ou portant leur croix, souffrant même et endurant jusqu’à leur dernier souffle ! Certains jeunent encore le matin de leur mort. Toute leur vie, ils refusent la bonne nourriture et les beaux vêtements, ne soulignant que la souffrance. Ils peuvent réprimer leur corps et abandonner leur chair. Leur esprit d’endurance de la souffrance est louable. Mais leur pensée, leurs notions, leur attitude mentale, et même leur vieille nature, rien de tout cela n’a été traité du tout. Ils n’ont aucune véritable compréhension d’eux-mêmes. Leur image mentale de Dieu est l’image traditionnelle d’un Dieu abstrait et vague. Leur détermination à souffrir pour Dieu vient de leur zèle et de leur nature positive. Même s’ils croient en Dieu, ils ne comprennent pas Dieu ni ne connaissent Sa volonté. Tout simplement, ils travaillent aveuglément pour Dieu et souffrent aveuglément pour Lui. Ils n’accordent aucune valeur au discernement et négligent de s’assurer que leur service accomplit la volonté de Dieu efficacement. Encore moins savent-ils comment parvenir à une compréhension de Dieu. Le Dieu qu’ils servent n’est pas Dieu à Son image originelle, mais un Dieu qu’ils se sont fabriqués, un Dieu dont ils ont entendu parler, ou un Dieu légendaire découvert dans des livres. Ils utilisent ensuite leur vive imagination et leur cœur pieux pour souffrir pour Dieu et pour prendre en main pour Dieu le travail que Dieu veut faire. Leur service est trop vague, de sorte que personne pratiquement ne sert vraiment Dieu d’une manière qui satisfait Sa volonté. Peu importe qu’ils soient prêts à souffrir, leur point de vue original sur le service et leur image mentale de Dieu restent inchangés, car ils n’ont pas subi le jugement et le châtiment de Dieu, ni Son raffinement et Son perfectionnement, et personne ne les a conduits avec la vérité. Même s’ils croient en Jésus le Sauveur, aucun d’eux n’a jamais vu le Sauveur. Ils ne Le connaissent que par légende et par ouï-dire. Ainsi, ils servent au hasard, les yeux fermés, comme un homme aveugle au service de son propre père. Qu’est-ce qui peut finalement être atteint par ce genre de service ? Et qui l’approuverait ? Du début à la fin, leur service ne change jamais. Ils reçoivent seulement des enseignements inventés par les hommes et fondent leur service uniquement sur leur nature et ce qu’ils aiment eux-mêmes. Quelle récompense pourraient-ils en tirer ? […] Tous ceux qui n’ont pas été jugés, émondés et traités, qui n’ont pas changé, ne sont-ils pas ceux qui n’ont pas été complètement conquis ? De quelle utilité sont ces gens ? Si ta pensée, ta compréhension de la vie et ta compréhension de Dieu ne montrent aucun changement ni le moindre progrès véritable, tu ne réaliseras jamais quelque chose de remarquable par ton service ! Sans une vision et sans une nouvelle compréhension de l’œuvre de Dieu, tu ne peux pas être une personne conquise. Tu suivras Dieu à la manière de ceux qui souffrent et jeunent. Cela n’a aucune valeur ! C’est précisément parce que le témoignage est rare dans leurs actions que je dis que leur service est inutile ! Toute leur vie, ces gens souffrent, passent du temps en prison, et à chaque instant, ils endurent, ils soulignent l’amour et la bonté et portent leur croix. Le monde les calomnie et les rejette. Ils expérimentent toute difficulté. Ils obéissent jusqu’à la fin, mais encore, ils ne sont pas conquis et ils ne peuvent présenter aucun témoignage d’avoir été conquis. Ils ont beaucoup souffert, mais à l’intérieur, ils ne connaissent pas Dieu du tout. Leur ancienne façon de penser, leurs vieilles notions et leurs pratiques religieuses, leurs conceptions et leurs idées humaines n’ont pas été traitées. Ils n’ont aucune nouvelle compréhension. Très peu de leur compréhension de Dieu est vrai ou exact. Ils ont mal compris la volonté de Dieu. Cela serait servir Dieu ? […] Si dans ta foi en Dieu, tu ne sais que réprimer ton corps, endurer et souffrir, et si tu ne sais pas clairement si ce que tu fais est bien ou mal et encore moins pour qui tu le fais, alors comment ce genre de pratique peut-il conduire à un changement ?

Extrait de « La vérité intérieure de l’œuvre de la conquête (3) », La Parole apparaît dans la chair

Chaque fois que ces hommes religieux se rassemblent, ils demandent : « Ma sœur, comment vas-tu ces derniers temps ? » Elle répond : « Je me sens redevable à Dieu et je sens que je suis incapable de satisfaire le désir de Son cœur. » Un autre dit : « Moi aussi, je suis redevable à Dieu et incapable de Le satisfaire. » Ces quelques phrases et paroles seules expriment les choses viles profondément enfouies dans leur cœur. De telles paroles sont des plus odieuses et extrêmement répugnantes. La nature de ces hommes s’oppose à Dieu. Ceux qui se concentrent sur la réalité communiquent tout ce qui est dans leur cœur et ouvrent leur cœur à la communication. Il n’y a pas un seul exercice faux, pas de politesse ou de civilité inutiles. Ils sont toujours simples et n’observent pas les règles de la terre. Il y a ceux qui ont un penchant pour l’apparence, même dénué de tout sens. Quand un autre chante, il commence à danser, ne réalisant même pas que le riz dans sa casserole a déjà brûlé. De tels comportements de la part des hommes ne sont pas pieux ou honorables et sont beaucoup trop frivoles. Ce sont toutes des manifestations de l’absence de la réalité ! Certains se réunissent pour débattre des questions de la vie en esprit et, même s’ils ne parlent pas d’être redevables à Dieu, ils conservent un véritable amour pour Lui dans leur cœur. Que tu sois redevable à Dieu n’a rien à voir avec les autres ; tu es redevable à Dieu, non pas à l’homme. Alors, quelle est l’utilité pour toi de parler constamment de cela avec d’autres ? Tu dois accorder de l’importance à entrer dans la réalité, et non au zèle extérieur ou à l’apparence.

Qu’est-ce que les bonnes actions superficielles de l’homme représentent ? Elles représentent la chair et même les meilleures pratiques extérieures ne représentent pas la vie, seulement ton propre tempérament. Les pratiques extérieures de l’homme ne peuvent pas satisfaire le désir de Dieu. Tu parles constamment d’être redevable à Dieu, mais tu ne peux pas soutenir la vie des autres ou amener les autres à aimer Dieu. Crois-tu que de telles actions satisferont Dieu ? Tu crois que c’est le désir du cœur de Dieu, que cela relève de l’esprit, mais en vérité, c’est absurde ! Tu crois que ce qui te plaît et ce que tu veux sont ce qui plaît à Dieu. Ce qui te plaît peut-il représenter ce qui plaît à Dieu ? Le caractère de l’homme peut-il représenter Dieu ? Ce qui te plaît est précisément ce que Dieu déteste et tes habitudes sont ce que Dieu déteste et rejette. Si tu te sens redevable, alors va et prie devant Dieu. Tu n’as pas besoin d’en parler aux autres. Si tu ne pries pas devant Dieu et, au contraire, tu attires constamment l’attention sur toi en présence des autres, cela peut-il satisfaire le désir de Dieu ? Si tes actions sont toujours en apparence seulement, cela signifie que tu es le plus vaniteux des hommes. Quel genre d’homme est celui qui ne pose que des bonnes actions superficielles, mais est dépourvu de réalité ? De tels hommes sont des pharisiens et des hommes religieux hypocrites ! Si vous ne rejetez pas vos pratiques extérieures et ne pouvez pas opérer des changements, alors les constituants de votre hypocrisie augmenteront davantage. Plus nombreux les constituants de l’hypocrisie, plus il y a de la résistance envers Dieu et, à la fin, de tels hommes seront sûrement rejetés !

Extrait de « La croyance en Dieu devrait se concentrer sur la réalité et non sur les rites religieux », La Parole apparaît dans la chair

Il se pourrait que durant toutes ces années passées dans la foi en Dieu tu n’aies jamais maudit personne ni accompli un mauvais acte, mais dans ton association avec Christ, tu ne peux pas dire la vérité, agir honnêtement ou obéir à la parole de Christ ; alors Je dis que tu es l’être le plus retors et sinistre dans le monde. Si tu es particulièrement cordial et fidèle envers les membres de ta famille, tes amis, ta femme (ou ton mari), tes fils et filles, et tes parents, et si tu ne profites jamais des autres, mais ne peux jamais être compatible et en paix avec Christ, alors même si tu offres tout ce que tu possèdes pour venir en aide à tes voisins ou que tu as pris bien soin de ton père, de ta mère et de ton ménage, Je continue à dire que tu es méchant, et rusé aussi. Ne pense pas que tu sois compatible avec Christ si tu es compatible avec l’homme ou réalises quelques bonnes actions. Crois-tu que ta bonté peut arracher la bénédiction du ciel ? Penses-tu que les bonnes actions soient un bon substitut à ton obéissance ? Personne d’entre vous ne peut accepter le traitement ou l’émondage et tous n’acceptent pas aisément l’humanité normale de Christ. Pourtant, vous prétendez toujours être obéissants à Dieu. Une telle foi comme la vôtre vous attirera un châtiment approprié.

Extrait de « Ceux qui sont incompatibles avec Christ sont sûrement les adversaires de Dieu », La Parole apparaît dans la chair

L’échange de l’homme :
Ceux qui ne détiennent pas la vérité parlent de vivre une bonne humanité comme si c’était la même chose que la vérité. Oses-tu justifier que vivre une bonne humanité correspond à la vérité ? Oses-tu garantir que c’est quelque chose de positif ? Bien, que dites-vous : L’amour de l’homme est-il le même que l’amour de Dieu ? Non, il ne l’est pas. Parfois, l’amour de l’homme c’est l’amour de Satan, c’est un amour émotionnel, un amour qui naît des désirs et intérêts propres à l’individu. Donnons-en une simple illustration : si quelqu’un est démoniaque de par sa nature, s’il aime les démons, quel genre d’amour a-t-il ? Il n’aime pas Dieu, mais il aime les démons. N’est-ce pas là l’amour de Satan ? L’amour de Satan s’oppose à la vérité, il est en antagonisme avec la vérité, et il va à l’encontre de ce que Dieu a et est et à l’encontre de l’amour de Dieu. Ne penses pas qu’avoir l’amour rend les humains meilleurs. Leur amour est dépourvu de vérité, c’est l’amour des choses négatives, et c’est ainsi l’amour de Satan. Une partie de leur bonté n’est-elle pas en opposition avec la vérité ? Une partie de la bonté des individus s’oppose à la vérité, et ainsi, même si aux yeux de certains ils semblent être de bonnes personnes, et paraissent admirables et dignes d’éloges, ils ne plaisent pas nécessairement au cœur de Dieu, et pourraient être des personnes négatives. N’est-ce pas vrai ? Ainsi, indépendamment de ce que, aux yeux des gens, les corrompus puissent paraître bons ou mauvais, pour Dieu ils sont tous de Satan, ils ont tous un tempérament satanique, ils sont tous corrompus, et ils sont tous en inimitié envers Dieu. Prenons quelques exemples : Comment, selon vous, des adeptes de la religion pouvaient-ils clouer Jésus sur la croix ? Et pendant qu’ils clouaient Jésus sur la croix quelles étaient leurs motivations ? Croyaient-ils que leurs motivations étaient erronées ? Ils pensaient qu’ils étaient fidèles à Dieu, qu’ils soutenaient l’œuvre de Dieu, et qu’ils restaient fermes dans leur témoignage — pourtant aux yeux de Dieu, ils s’opposaient à Lui et étaient Ses ennemis. Qu’en penses-tu ? Aujourd’hui, la communauté religieuse condamne l’œuvre de Dieu des derniers jours, ils ont une fois encore cloué le Christ sur la croix, et dans leurs têtes ils pensent qu’ils sont en train de soutenir l’œuvre de Dieu, et d’être fidèles à Dieu et non en inimitié envers Dieu. Ils pensent qu’ils sont les seuls à aimer Dieu, qu’ils sont les seuls à être plus fidèles à Dieu. N’est-ce pas ce qu’ils pensent ? Ainsi, pour les corrompus, en pensant et en agissant de cette façon, ils sont en train de poser un acte juste et totalement correct — mais pour Dieu, ils sont incontestablement contre Lui, ce sont Ses ennemis. Comment interprètes-tu cela ? Être bon signifie-t-il que les gens plaisent au cœur de Dieu ? Signifie-t-il qu’ils sont justes ? Signifie-t-il qu’ils sont compatibles avec Dieu ? Et donc, sans la vérité, les gens sont-ils capables de plaire au cœur de Dieu ? Sans la vérité, ne sont-ils pas contre Dieu ? Ainsi, la bonté des gens est-elle positive ou négative ? Dans la plupart des cas, la bonté des individus est négative, parce qu’elle est trop impure, elle a été souillée par le venin de Satan et ne contient rien de la vérité. Et ainsi, quand leurs « motivations » sont bonnes, dans leurs actions ils ne sont pas en train de mettre nécessairement la vérité en pratique, et pourraient s’opposer à Dieu, et être en flagrante inimitié envers Dieu ; la preuve tangible de cette situation se trouve dans l’opposition et la rébellion de la communauté religieuse envers Dieu, et dans leur crucifixion du Christ pour une seconde fois. […] Ainsi, quand les gens « vivent », quand ils font « de bonnes choses » et font « de bonnes actions », ça ne correspond pas nécessairement à la vérité ; certaines de leurs actions s’opposent à Dieu et peuvent même être qualifiées de méchantes, ou perverses ou même de trahison envers Dieu. Maintenant tu vois clairement ces choses, n’est-ce pas ? Peu importe combien de bonnes gens peuvent s’imaginer quelque chose, ceci ne signifie pas qu’ils détiennent la vérité ou la réalité ; c’est le fait de mettre la vérité en pratique qui détermine la réalité.

Extrait de « l’échange du supérieur »

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