25.1.18

La vérité sur l’œuvre à l’ère de la Rédemption

La vérité sur l’œuvre à l’ère de la Rédemption

 Dieu Tout-Puissant dit :« Tout Mon plan de gestion, qui s’étend sur six mille ans, se compose de trois phases, ou trois ères : d’abord, l’ère de la Loi ; deuxièmement, l’ère de la Grâce (qui est aussi l’ère de la Rédemption) ; et enfin, l’ère du Règne. Mon œuvre dans ces trois ères diffère selon la nature de chaque ère, mais à chaque étape elle correspond aux besoins de l’homme – ou plutôt, elle varie selon les astuces que Satan emploie dans Ma guerre contre lui. Le but de Mon œuvre est de vaincre Satan, de manifester Ma sagesse et Ma toute-puissance, d’exposer tous les artifices de Satan et de sauver ainsi toute l’humanité qui vit sous son domaine. C’est pour montrer Ma sagesse et Ma toute-puissance tout en révélant la laideur de Satan. En outre, c’est pour enseigner Mes créations à discriminer entre le bien et le mal, à reconnaître que Je suis le Souverain de toutes choses, à voir clairement que Satan est l’ennemi de l’humanité, le plus bas du bas, le mal, et faire la différence entre le bien et le mal, la vérité et le mensonge, la sainteté et la saleté, la grandeur et la bassesse, aussi claire que le jour. De cette façon, l’humanité ignorante peut témoigner que ce n’est pas Moi qui corrompt l’humanité, et que seulement Moi – le Créateur – peut sauver l’humanité, que Je peux leur accorder des choses pour le plaisir ; et ainsi ils peuvent arriver à savoir que Je suis le souverain de toutes choses et que Satan est simplement une de Mes créations, qui s’est retournée contre Moi. Mon plan de gestion de six mille ans est divisé en trois étapes afin d’obtenir l’effet suivant : permettre à Mes créations d’être Mes témoins, de connaître Ma volonté, de voir que Je suis la vérité. Ainsi, pendant l’œuvre initiale de Mon plan de gestion de six mille ans, J’ai fait l’œuvre de la loi, c’est-à-dire l’œuvre de l’Éternel qui dirigeait le peuple. La deuxième étape fut commencée les travaux de l’ère de Grâce dans les villages de Judée. Jésus représente toute l’œuvre de l’ère de Grâce ; Il a été incarné et crucifié, et a inauguré l’ère de la Grâce. Il a été crucifié afin d’achever le travail rédempteur, de mettre fin à l’ère de la Loi et de commencer l’ère de la Grâce, et ainsi Il a été appelé le « Commandant Suprême », le « Sacrifice du péché », le « Rédempteur ». L’œuvre de Jésus différait du contenu de l’œuvre de l’Éternel, bien qu’ils fussent en principe semblables. L’Éternel commença l’ère de la Loi, établit le lieu d’origine, le lieu de naissance de Son œuvre sur la terre, et publia les commandements ; ce sont Ses deux réalisations, qui représentent l’ère de la Loi. L’œuvre de Jésus n’était pas de délivrer des commandements, mais d’accomplir les commandements, annonçant ainsi l’ère de Grâce et la fin de l’ère de la Loi qui a duré deux mille ans. Il fut le pionnier, qui inaugura l’ère de la Grâce, pourtant la rédemption est restée le noyau de Son travail. Et ainsi Ses accomplissements furent aussi doubles : ouvrir une nouvelle ère, et achever l’œuvre rédemptrice par Sa crucifixion. Puis Il partit. À ce moment-là, l’ère de la Loi toucha à sa fin et l’humanité entra dans l’ère de la Grâce.
 L’œuvre de Jésus a été faite conformément aux besoins de l’homme à cette ère. Sa tâche était de racheter l’humanité, de leur pardonner leurs péchés, et tout Son tempérament était donc d’humilité, de patience, d’amour, de piété, de tolérance, de miséricorde et de bonté. Il a béni l’humanité richement et leur a apporté la grâce en abondance, et toutes choses pour la jouissance : la paix et le bonheur, la tolérance et l’amour de Jésus, Sa miséricorde et Sa bonté. En ce temps-là, tout ce que l’homme rencontrait était une abondance de choses à apprécier : son cœur était en paix et rassuré, son esprit était consolé, et il était soutenu par le Sauveur Jésus. Qu’il pût gagner ces choses était une conséquence de l’ère dans lequel il vivait. Dans l’ère de la Grâce l’homme avait été corrompu par Satan, et ainsi l’œuvre de racheter toute l’humanité exigeait une abondance de la grâce, l’abondance infinie et la patience, et plus encore, une offre adéquate pour expier les péchés de l’humanité. Ce que les gens voyaient dans l’ère de la Grâce n’était que Mon offrande pour l’humanité : Jésus. Ils savaient seulement que Dieu pouvait être miséricordieux et pacifique, et ne voyaient que la miséricorde et la bonté de Jésus. C’était parce qu’ils vivaient à l’ère de Grâce. Alors, avant qu’ils ne pussent être rachetés, ils devaient jouir d’une grande grâce que Jésus leur accorda ; il n’y avait que cela de bénéfique pour eux. De cette façon, ils pourraient être pardonnés de leurs péchés en jouissant de la grâce, et pourraient avoir la chance d’être rachetés s’ils appréciaient la tolérance et la patience de Jésus. Seulement par la tolérance et la patience de Jésus pouvaient-ils recevoir le pardon et jouir de l’abondance de la grâce accordée par Jésus – comme Jésus avait dit : « Je suis venu non pour racheter les justes mais les pécheurs, et pour permettre que leurs péchés soient pardonnés ». Si Jésus S’était incarné avec le tempérament du jugement, de la malédiction et l’intolérance des offenses de l’homme, alors l’homme n’aurait jamais eu la chance d’être racheté, et serait resté pour toujours pécheur ; et donc le plan de gestion de six mille ans n’aurait pas progressé plus loin que l’ère de la Loi. L’ère de la Loi aurait duré six mille ans, les péchés de l’homme auraient été plus nombreux et plus graves, et la création de l’humanité n’aurait servi à rien. Les hommes auraient seulement pu servir l’Éternel en vertu de la loi, mais leurs péchés auraient dépassé ceux des premiers humains créés. Plus Jésus aimait les hommes, leur pardonnant leurs péchés et leur donnant assez de miséricorde et de bonté, plus l’humanité pouvait être sauvée, appelée les agneaux perdus et rachetés par Jésus à un prix élevé. Satan ne pouvait pas se mêler de cette œuvre, parce que Jésus traitait Ses disciples comme une mère aimante traite l’enfant dans ses bras. Il ne Se fâchait pas contre eux ni les méprisait, mais Il était plein de consolation ; Il n’était jamais furieux quand Il Se trouvait parmi eux, mais tolérait leurs péchés et fermait les yeux sur leur folie et leur ignorance, de sorte qu’Il disait : « Pardonne les autres soixante-dix fois sept fois. » Son cœur a donc réformé le cœur des autres et ainsi les gens recevaient le pardon par Sa patience.
 Bien que Jésus, étant Dieu incarné, était sans émotion, Il a toujours réconforté Ses disciples, subvenu à leurs besoins, les a aidés et soutenus. Peu importe combien de travail Il a accompli ou combien de souffrance Il a endurée, Il n’a jamais fait des exigences excessives à aucun, mais a toujours été patient et tolérant avec leurs péchés, de telle sorte que dans l’ère de la Grâce Il a été affectueusement connu comme « l’aimable Sauveur Jésus ». Pour les gens de cette époque – tout le monde – ce que Jésus avait et était, c’était la miséricorde et la bonté. Il ne Se souvenait jamais des transgressions des gens ni laissait que celles-ci affectent la façon dont Il les traitait. Parce que c’était une ère différente, Il a souvent donné beaucoup à manger et à boire afin qu’ils puissent manger leur comble. Il a été bienveillant avec tous Ses disciples, guérissant les malades, chassant les démons, élevant les morts. Afin que les gens croient en Lui et voient que tout ce qu’Il a accompli a été fait avec sérieux et sincérité, Il est allé jusqu’à ressusciter un cadavre en décomposition, pour leur montrer qu’entre Ses mains même les morts pouvaient revenir à la vie. C’est ainsi qu’Il a enduré en silence parmi eux et accompli Son œuvre rédemptrice. Même avant d’être cloué à la croix, Jésus avait déjà porté les péchés de l’humanité et était devenu une offrande pour le péché de l’humanité. Il avait déjà ouvert le chemin à la croix afin de racheter l’humanité avant d’être crucifié. Enfin, Il fut cloué à la croix, Il Se sacrifia pour la croix, et Il donna toute Sa miséricorde, Sa bonté et Sa sainteté à l’humanité. Il persistait à tolérer les gens, à ne jamais chercher la vengeance, mais à leur pardonner leurs péchés, les exhortant à se repentir, leur apprenant à avoir de la tolérance, de la patience et de l’amour, à suivre Ses traces et à se sacrifier pour la croix. Son amour pour les frères et sœurs dépassait Son amour pour Marie. Le principe de Son œuvre était de guérir les gens et de chasser leurs démons, tout pour Sa rédemption. Peu importe où Il allait, Il traitait tous ceux qui L’ont suivi avec bonté. Il rendit les pauvres riches, Il fit marcher les boiteux, Il fit voir les aveugles, et fit entendre les sourds ; Il a même invité les plus pauvres et les plus démunis, les pécheurs, à dîner avec Lui, sans les écarter, mais en étant toujours patient, disant même : « Quand un berger perd une brebis sur cent, il quittera les quatre-vingt-dix-neuf pour chercher la brebis perdue, et quand il la trouvera il se réjouira grandement. » Il a aimé Ses disciples comme une brebis aime ses agneaux. Quoiqu’ils fussent à Ses yeux insensés et ignorants, des pécheurs et, en outre, les sédiments de la société, Il voyait ces pécheurs que les autres méprisaient comme la prunelle de Ses yeux. Puisqu’Il les a favorisés, Il a renoncé à Sa vie pour eux, comme un agneau qui a été offert sur l’autel. Il S’est mêlé à eux comme leur serviteur, laissant qu’ils L’utilisent et L’abattent, Se soumettant à eux inconditionnellement. Pour Ses disciples Il était « l’aimable Sauveur Jésus », mais pour les pharisiens qui faisaient la leçon au peuple du haut d’un piédestal élevé Il n’a pas montré de la miséricorde et de la bonté, mais Il a éprouvé de la répugnance envers eux et les a détestés. Il ne réalisa pas beaucoup d’œuvre parmi les pharisiens ; Il leur faisait seulement la leçon de temps en temps et les réprimandait ; Il ne les racheta pas, et ne fit aucun signe ni prodige parmi eux. Il réserva Sa miséricorde et Sa bonté pour Ses disciples, endurant pour le bien de ces pécheurs jusqu’à la fin quand Il a été cloué à la croix, supportant chaque humiliation jusqu’à ce qu’Il eût entièrement racheté toute l’humanité. C’était la somme totale de Son œuvre.
 Sans la rédemption de Jésus, l’humanité vivrait à jamais dans le péché, et deviendrait les enfants du péché, les descendants des démons. Si cela continuait, Satan s’installerait sur la terre, et toute la terre deviendrait sa demeure. Mais l’œuvre rédemptrice exigeait la miséricorde et la bonté envers l’humanité ; c’est seulement grâce à cela que l’humanité pourrait recevoir le pardon et serait finalement qualifiée pour être faite complète et pleinement acquise. Sans cette étape de travail, le plan de gestion de six mille ans n’aurait pas pu avancer. Si Jésus n’avait pas été crucifié, s’Il avait seulement guéri le peuple et exorcisé ses démons, celui-ci n’aurait pas pu être entièrement pardonné de leurs péchés. Les trois ans et demi que Jésus a accompli Son œuvre sur terre n’ont achevé que la moitié de Son œuvre rédemptrice ; puis, parce qu’Il a été cloué à la croix, parce qu’Il est devenu la ressemblance de la chair pécheresse, et parce qu’Il a été livré au malin, Il a terminé l’œuvre de crucifixion et maîtrisé le destin de l’humanité. Ce n’est qu’après qu’Il fut livré aux mains de Satan que l’homme fut racheté. Pendant trente-trois ans et demi Il a souffert sur la terre, a été ridiculisé, calomnié et abandonné, et Il ne Lui est pas même resté un endroit où poser Sa tête, aucun lieu de repos ; alors Il fut crucifié, tout Son être, corps immaculé et innocent, cloué à la croix et subissant toutes sortes de souffrances. Ceux qui étaient au pouvoir se moquaient de Lui et Le fouettaient, et les soldats Lui crachaient même à la face ; mais Il garda le silence et endura jusqu’à la fin, Se soumettant inconditionnellement à la mort, à la suite de quoi Il racheta toute l’humanité et fut ainsi autorisé à Se reposer. L’œuvre de Jésus ne représente que l’ère de la Grâce ; Il ne représente pas l’ère de la Loi et ne remplace pas le travail des derniers jours. C’est l’essence de l’œuvre de Jésus à l’ère de la Grâce, la seconde ère de l’humanité – l’ère de la Rédemption.»

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